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- Après-match
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- Par conan
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On a perdu contre les Merlus. C'est de la faute à Lulu.
Le Racing a donc 1-0 au Moustoir. Pas si facile de rédiger un résumé complet de la rencontre quand on a pas vu une seule minute du match et qu'on s'est contenté du récit radiophonique épique des parties de Pictionnary de Lucile Guillotin entre deux SMS des auditeurs de FBA. Encore qu'avec le Racing, il n'y a parfois pas à se casser la tête tant l'histoire est souvent et désespérément courue d'avance.
Comme souvent, le Racing n'a pas franchement mal joué, mais on ne peut pas dire qu'il a bien joué non plus.
Comme souvent, le Racing avait l'occasion de réaliser une superbe opération au classement, il ne l'a pas saisi. Ce sera pour la prochaine fois où l'occasion se présente, si l'occasion veut bien se représenter. Ou pas. Ca devient quand même lassant.
Comme souvent, c'est un ancien du Racing qui marque un splendide but décisif contre son ancien club. Le grand gagnant du jour est Ulrich Le Pen, qui n'était pas blessé ce soir là et n'a même pas terminé la rencontre sur une civière comme il en avait l'habitude à Strasbourg. Au niveau de la note artistique, son but n'atteindra sans doute pas les sommets de celui du mythique Wilfried Gohel inscrit face au Racing lors de Bastia-RCS 1997, mais il est fort joli.
Comme souvent, Stéphane Cassard a fait ce qu'il a pu pour retarder l'échéance et Alvaro Santos, comme quasiment à chaque fois qu'il est titulaire, a été muet comme une carpe. Un comble au pays des merlus. Vu que la pêche n'est guère fructueuse lorsqu'on lui confie le chalutier, il devra probablement assumer son statut de sous marinier. Pour ceux qui n'auraient pas saisi cette brillante métaphore (et non pas ce brillant sémaphore qui illumine la rade du port de Lorient) un « sub mariner » comme disent les grands bretons (et non les petits bretons de Lorient) est un joueur qui marque régulièrement lorsqu'il rentre en cours de jeu. Un peu comme le fameux David Fairclough de Liverpool qui dans les années 70 était en quelque sorte le Alvaro Santos des Reds époque Kevin Keegan.
Comme souvent, l'arbitrage du soir a suscité pas mal de commentaires. Monsieur Piccirilo, un Mosellan comme l'a très pertinemment souligné Robert dans le débat des auditeurs de FBA, semble s'être montré très tatillon, a averti la moitié de l'équipe strasbourgeoise et a justifié l'absence d'arbitres français au prochain Euro.
Bref, comme souvent, le Racing a raté le coche lors d'une rencontre pas très intéressante et devra se contenter de jouer le maintien plutôt que l'Europe. C'est dommage, mais tel est notre triste destin de supporter du Racing.
N'empêche que ce soir, je suis bien content d'avoir joué au poker avec mes amis plutôt que d'avoir suivi cette rencontre à l'issue prévisible. Le gâteau était très bon d'ailleurs. Mais ce n'est pas grave, on se passionnera pour le derby face à Sochaux la semaine prochaine, en espérant éviter un faux pas ennuyeux.
Comme souvent, le Racing n'a pas franchement mal joué, mais on ne peut pas dire qu'il a bien joué non plus.
Comme souvent, le Racing avait l'occasion de réaliser une superbe opération au classement, il ne l'a pas saisi. Ce sera pour la prochaine fois où l'occasion se présente, si l'occasion veut bien se représenter. Ou pas. Ca devient quand même lassant.
Comme souvent, c'est un ancien du Racing qui marque un splendide but décisif contre son ancien club. Le grand gagnant du jour est Ulrich Le Pen, qui n'était pas blessé ce soir là et n'a même pas terminé la rencontre sur une civière comme il en avait l'habitude à Strasbourg. Au niveau de la note artistique, son but n'atteindra sans doute pas les sommets de celui du mythique Wilfried Gohel inscrit face au Racing lors de Bastia-RCS 1997, mais il est fort joli.
Comme souvent, Stéphane Cassard a fait ce qu'il a pu pour retarder l'échéance et Alvaro Santos, comme quasiment à chaque fois qu'il est titulaire, a été muet comme une carpe. Un comble au pays des merlus. Vu que la pêche n'est guère fructueuse lorsqu'on lui confie le chalutier, il devra probablement assumer son statut de sous marinier. Pour ceux qui n'auraient pas saisi cette brillante métaphore (et non pas ce brillant sémaphore qui illumine la rade du port de Lorient) un « sub mariner » comme disent les grands bretons (et non les petits bretons de Lorient) est un joueur qui marque régulièrement lorsqu'il rentre en cours de jeu. Un peu comme le fameux David Fairclough de Liverpool qui dans les années 70 était en quelque sorte le Alvaro Santos des Reds époque Kevin Keegan.
Comme souvent, l'arbitrage du soir a suscité pas mal de commentaires. Monsieur Piccirilo, un Mosellan comme l'a très pertinemment souligné Robert dans le débat des auditeurs de FBA, semble s'être montré très tatillon, a averti la moitié de l'équipe strasbourgeoise et a justifié l'absence d'arbitres français au prochain Euro.
Bref, comme souvent, le Racing a raté le coche lors d'une rencontre pas très intéressante et devra se contenter de jouer le maintien plutôt que l'Europe. C'est dommage, mais tel est notre triste destin de supporter du Racing.
N'empêche que ce soir, je suis bien content d'avoir joué au poker avec mes amis plutôt que d'avoir suivi cette rencontre à l'issue prévisible. Le gâteau était très bon d'ailleurs. Mais ce n'est pas grave, on se passionnera pour le derby face à Sochaux la semaine prochaine, en espérant éviter un faux pas ennuyeux.
